Oscar Wilde: « vivre simplement et penser hautement».
Oscar Wilde « leur culte du succès vulgaire, leurs préoccupations entièrement tournées vers le grossier matérialisme de la vie et leur ridicule idée d’eux-mêmes et de leur importance...»
Sénèque « n'est pas heureux celui que le vulgaire tient pour tel, celui qui a accumulé beaucoup d'argent, mais celui qui a tout son bien en son âme, l'homme de droiture qui foule au pied ce que les autres admirent, ne voit personne avec qui il souhaiterait échanger sa vie, n’apprécie en l'homme que les qualités proprement humaines, suit l'enseignement de la nature, s'adapte à ses lois, vit selon ses préceptes, celui qu’aucun pouvoir n'est capable de déposséder, celui qui fait du mal un bien, l'homme au jugement sûr, inébranlable, intrépide, qui peut être touché mais non bouleversé…».
« Pour bien débuter il faut de la motivation. Pour bien finir il faut de la discipline ».
Olivier de Kersauson « je n'ai jamais vécu dans le schéma des envies et des besoins. Le dépouillement, ça me va. Le confort, pour moi, et à la limite de la vulgarité. C'est une recherche que je trouve triviale. Le fait, précisément, de ne pas rechercher le confort - c'est mon cas personnel- participe de mon ascétisme. Du moment qu'il ne me pleut pas dessus lorsque je dors et que j'ai à manger, tout va. Le reste est futile je peux me passer de tout bien matériel sauf d'un bateau. Le matériel n'a pas d'intérêt sauf quand c'est extraordinairement beau. Alors dans ce cas seulement il peut susciter mon intérêt. Le château de Vaux-le-Vicomte c'est cohérent, ça a de la gueule. »
Olivier de Kersauson « je me suis fait la vie que je voulais, partant du principe que mon temps dans l'existence est mon seul capital ».
Olivier de Kersauson « penser comme ses contemporains, par effet de mode, c'est une insulte générale à l'intelligence de l'espèce ».
Olivier de Kersauson « nos contemporains n’ont plus de pensées mais ils ont des avis - l’avis étant le raccourci de la pensée- L’avis,c'est un jugement hâtif prononcé sur quelque chose qu'on ne connaît pas...».
Cocteau « l’oeuvre est sueur ».
« on n’apprend pas pour étaler sa connaissance, on apprend parce que ça aide à vivre »
Goethe « le savoir accroît les doutes ».
Critique de Fight Club de David Fincher: « le film est une réflexion sur le mal-être d’un individu lambda dans une société moderne étouffante où chacun est défini par ce qu'il consomme ».
Flaubert « pour qu'une chose soit intéressante, il suffit de la regarder longtemps ».
Holderlin: « là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve ».
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